Fpi tendance "Gbagbo ou rien" s'en prend frontalement au candidat malheureux de la présidentielle gabonaise.
A travers une déclaration signée d'Alphone Daouti, les opposants radicaux indexent l'ancien président de la commission de l'Union africaine, la France, les Etats Unis et l'Union Européenne, dans leur volonté de recompte bureau de vote par bureau de vote qu'ils avaient refusé à Laurent Gbagbo Search Laurent Gbagbo en 2010.
"Le FPI rappelle qu’en novembre 2010, c’est un contentieux électoral sur le résultat de l’élection présidentielle qui avait opposé le Président Laurent Gbagbo Search Laurent Gbagbo à M. Alassane Dramane Ouattara. Pour éviter aussi à la Côte d’Ivoire de sombrer dans le chaos et en vue d’épargner à ce pays des morts inutiles, le Président Gbagbo, en bon démocrate, avait proposé la solution que requiert la pratique démocratique en pareille circonstance ; à savoir le recomptage des voix pour établir la vérité des urnes" relève ton du point sept de la déclaration qui se poursuit en son point huit par une attaque frontale.
"Le FPI regrette qu’à cette voie pacifique, pleine de sagesse, proposée par le président Laurent Gbagbo, la communauté internationale, y compris la Commission de l’Union africaine dont M. jean Ping assurait alors la présidence, ait opposé une option guerrière, une voie militaire dont les effets pervers continuent de fragiliser la Côte d’Ivoire ; surtout du fait de la déportation et de la détention arbitraire, à La Haye, de celui qui a voulu préserver la Côte d’Ivoire de la violence et du désordre, le président Laurent Gbagbo."
Étonné de l’attitude de l'homme d'affaire très présent en Côte d'Ivoire et suspecté de connivences avec le pouvoir ivoirien pour avoir tenté de chasser Ali Bongo du pouvoir, les "Gbagbo ou rien" invitent la Communauté internationale "à prendre conscience, de façon responsable, de son erreur et à procéder, sans délai, à la mise en liberté du président Laurent Gbagbo Search Laurent Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé" comme relevé ainsi que la fin de "tous les procès en Côte d’Ivoire liés à la crise postélectorale" et enfin "la libération de tous les prisonniers politiques et le retour sécurisé de tous les exilés, afin d’une amorce salutaire de la réconciliation nationale, gage incontestable de la cohésion nationale."